Jean-Frédéric Neuburger, l’esprit du piano

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Le pianiste Jean-Frédéric Neuburger, « interprète au talent fou et compositeur étonnant », conclura le premier week-end du festival de la grange de Meslay. Carole Bellaiche
Le pianiste Jean-Frédéric Neuburger sera sur la scène de la grange de Meslay dimanche 15 juin pour conclure le premier week-end du festival fondé en 1964 et placé, comme le veut la tradition, sous le signe du piano et de la musique de chambre.
René Martin, le directeur artistique du Festival de la grange de Meslay (1), a tenu à entretenir la tradition lancée par le pianiste russe Sviatoslav Richter – son fondateur –, qui réservait le dernier concert à un très grand virtuose. Cette année, il a donc invité Jean-Frédéric Neuburger – « un interprète au talent fou et un compositeur étonnant, qui n’occupe pas la place internationale qu’il mérite » – pour un récital romantique, construit en trois temps : la Chaconne de Bach, Kreisleriana opus 16 de Schumann et la Sonate en si mineur de Franz Liszt.
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