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Pierre Boulez en 1995 : « N’attendez pas de moi que je fasse serment d’allégeance, sinon à la musique »

Pierre Boulez en 1995 : « N’attendez pas de moi que je fasse serment d’allégeance, sinon à la musique »

Entretien Dans cet entretien, publié en 1995 à l’occasion de son 70e anniversaire, le compositeur et chef d’orchestre Pierre Boulez (mort en 2016), parle des poètes qui ont inspiré sa musique. Il revient également sur ses relations avec le pouvoir politique et sur la création de la Cité de la Musique, une institution qui venait alors d’ouvrir et qu’il nous a laissée en héritage.

L’Orchestre de Paris dirigé par Pierre Boulez, en décembre 2011.

L’Orchestre de Paris dirigé par Pierre Boulez, en décembre 2011. REVELLI-BEAUMONT/SIPA

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Le Nouvel Observateur. Vous regrettiez il y a quelques années qu’il n’y ait pas assez de musiciens-instrumentistes capables de jouer de la musique contemporaine et que trop souvent vous vous retrouviez en tant que chef d’orchestre devant des étrangers qu’il fallait apprivoiser ?

Pierre Boulez Oui, c’est vrai.

Et il en est toujours ainsi ?

Avec les grandes formations, quelquefois, oui. Parce qu’elles sont mobilisées par les œuvres du répertoire et non des œuvres contemporaines. Il faut parfois tout leur apprendre, mais en général il n’y a pas trop de résistance. Avec l’âge et l’expérience la relation avec les autres musiciens devient presque… naturelle. Aujourd’hui je me suis libéré de toutes mes tâches administratives, je…

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