Qui est ce « mort en trop » retrouvé dans les décombres du World Trade Center ?

Par Julie Malaure
Publié le
PHOTOMONTAGE D’APRÈS GORDON GERARD MCLEAN-CHALO GALLARDO-JOSH HILD / UNSPLASH / SETH MCALLISTER VIA AFP
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Critique Dans « La Trahison de Sunset Park », Victor Guilbert s’engage dans le récit d’une affaire judiciaire singulière. ★★★☆☆
Pour aller plus loin
3711. C’est le nombre de morts recensés lors de l’attaque du 11 septembre 2001. 3711, plus un. Dans les pas de Truman Capote, Philippe Jaenada et Florence Aubenas, Victor Guilbert, auteur des enquêtes d’Hugo Boloren – « Douve », « Terra Nullius » et « Brouillards » (J’ai Lu) – s’engage dans le récit d’une affaire judiciaire singulière : un corps de trop, retrouvé dans les décombres du World Trade Center. La victime n’a pas péri dans les attentats, mais a été dissimulée sous les gravats le jour de la catastrophe.
Ce livre raconte comment quatre jeunes adultes – deux Françaises, Eléonore et Céline, et leurs petits amis congolais et sicilien, Hervé et Angelo (le mort), venus parfaire leur anglais et leur CV dans une New York interlope et cocaïnée, en sont arrivés là. Mais aussi le fiasco de l’investigation américaine, véritable feuilleté de boulettes arrosé d’approximations désastreuses. Et ce dans le style de Victor Guilbert : drolatique même dans le maca…
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