« Une bataille après l’autre », cavale burlesque dans une Amérique ultra-polarisée

Publié le Lecture : 2 min
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Très attendu, le nouveau film de Paul Thomas Anderson est une haletante traque d’anciens révolutionnaires par un agent fédéral d’extrême droite. Une fable comique et politique sur la polarisation de l’Amérique d’aujourd’hui, dont la morale aurait mérité de mûrir davantage.
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Je m'abonne Ils s’appellent les « French 75 », mais ce ne sont pas vraiment des supporters américains du PSG. Armés jusqu’aux dents, ces militants de l’ultra-gauche libèrent des immigrés clandestins d’un camp de rétention proche de la frontière avec le Mexique, en un temps record et sous un feu de Bengale digne d’une fête nationale. Ils humilient au passage le lieutenant Lockjaw (Sean Penn, qui en fait des tonnes en G.I. Joe raciste) qui en garde un souvenir cuisant. Nous sommes à la fin des années 2000 et le groupuscule vole de braquage de banque en action politique coup de poing.
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