« Après trois olympiades, j’étais arrivée au bout d’un système » : un an après les JO, la kayakiste Manon Hostens a changé sa façon de s’entraîner

La kayakiste Manon Hostens lors des épreuves des Jeux olympiques de Paris, à Vaires-sur-Marne, le 7 août 2024. LECOCQ CEDRIC / KMSP VIA AFP
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Elle visait une médaille mais n’a obtenu que la 13ᵉ place au classement final en biplace sur 500 mètres : les troisièmes Jeux olympiques de Manon Hostens lui ont laissé un goût amer. « C’était super dur de se faire sortir en demi-finale, se souvient-elle, aujourd’hui. Après une telle déception, on a eu du mal avec Vanina [Paoletti, sa coéquipière sur le K2, NDLR] à nous reconcentrer pour aller chercher les places d’honneur… »
Inébranlable optimiste, la Périgourdine, que nous avions suivi tout au long de sa préparation pour les olympiades de Paris, préfère toujours voir le verre à moitié plein. « Même si le résultat était décevant, on a fait du bon boulot en termes de performance pure », lance-t-elle. De cette parenthèse sportive « inoubliable », Manon Hostens préfère se souvenir de l’ambiance des supporters à la base nautique de Vaires-sur-Marne et de l’impression de…

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Le Nouvel Observateur