James Startt, photographe du Tour de France : «Quand le peloton arrive, il anime le paysage»

A l’occasion des Rencontres de la photographie d’Arles, qui se tiennent du 7 juillet au 5 octobre 2025, «Libération» fait la part belle à la photo. Retrouvez le numéro spécial «Libé des photographes» en kiosques les 12, 13 et 14 juillet ou dans sa version numérique.
Avec sa haute silhouette surmontée d’un chapeau, James Startt est une des figures bien connues de la salle de presse du Tour de France. Il la hante depuis plus de trois décennies : le photographe américain installé à Paris couvre cette année sa 36e édition de l’épreuve. «Au bout de 20 ans, tu reçois une médaille, à 35, un plateau et après, tu peux aller mourir», dit l’homme de 63 ans en se marrant. Des breloques qui comptent moins que les prestigieux prix reçus pour son travail sur le cyclisme, dont deux World Sports Photography Awards ces cinq dernières années. Pour le Libé des photographes, il commente une série réalisée en 1986 pour le journal par Sebastião Salgado, le maître franco-brésilien du noir et blanc
Libération