Le PSG champion d’Europe : « La victoire de Paris est incontestable », reconnaissent les Milanais

Le club milanais a complètement sombré face à des Parisiens impériaux. Simone Inzaghi, Yann Sommer et Nicolò Barella n’ont pu qu’accepter la supériorité de leur adversaire.
Par Samuel GothotL’Inter Milan a pris une énorme gifle. Balayés par le Paris Saint-Germain en finale de la Ligue des champions (5-0), les Milanais ont subi la plus lourde défaite de l’histoire dans un tel match. Un gros coup dur pour ceux qui avaient connu un sublime parcours, avec notamment l’élimination au bout du suspense de Barcelone en demi-finales. Mais ce samedi, il n’y a pas réellement eu de match.
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« Peu de choses à dire, ils étaient meilleurs, a reconnu Nicolò Barella après la rencontre. Ils en voulaient plus et c’est le plus grand regret. Je suis désolé car la dernière image qui restera de ce beau parcours est cette défaite. Mais je le répète, je suis très fier de cette équipe qui a poussé le moteur au maximum ces dernières années. Aujourd’hui, c’était une mauvaise soirée. Il ne faut pas se cacher, c’était un match à sens unique. Il va donc falloir travailler. »
Son coach Simone Inzaghi n’a pas été plus tendre. « Je pense que c’est une grosse désillusion, a-t-il estimé. La victoire du PSG est incontestable. Nous sommes extrêmement déçus. Je suis fier du parcours de mon équipe. Ce soir, nous avons été gênés par l’incroyable pressing des Parisiens. Nous sommes passés à côté de notre finale. »
Le technicien italien a poursuivi son monologue, reconnaissant la supériorité des Parisiens dans tous les aspects du jeu. « Nous étions plus fatigués que le PSG, nous avons manqué de précision dans nos passes, la fraîcheur était du côté du PSG, a-t-il regretté. Nous savions très bien que ce serait dur, mais techniquement, le PSG a été largement au-dessus. »
Brillant dans toute la campagne, le portier Yann Sommer a été dans la même lignée. « Il faut reconnaître que le PSG était plus fort dans tous les domaines, a-t-il constaté. Ils ont exercé un bon pressing, proposé beaucoup de variété et de mouvements devant et on leur a laissé trop d’espaces. Après c’était difficile. »
Le Parisien