« On ne fait pas ça pour la gloire » : le travail de l’ombre des mécanos du Tour de France

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En juillet 2023, un mécanicien de la team Jumbo-Visma. Les vélos nécessitent des réglages millimétrés pour espérer gagner de précieuses secondes dans la course. Thierry Larret / MAXPPP
À l’heure du contre-la-montre de Caen lors de la 5e étape du Tour de France, mercredi 9 juillet, les regards seront tournés vers les stars du peloton. Mais dans les coulisses, une autre course se joue : celle des mécaniciens, dont la tâche est colossale.
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Je m'abonne Alors que les projecteurs sont braqués sur les coureurs, que les caméras scrutent chaque mouvement des favoris, il y a ceux que l’on ne voit jamais. Ceux qui, dans l’ombre, jouent un rôle essentiel à la réussite d’une équipe : les mécaniciens. Et s’il est un matin où leurs nerfs sont mis à rude épreuve, c’est bien celui qui précède une étape de contre-la-montre.
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