Embryon à trois ADN : une étude anglaise valide l’avancée scientifique du don de mitochondrie

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Une étude est parue le 16 juillet au Royaume-Uni sur le processus controversé de don de mitochondrie. Légal outre-Manche, il reste interdit en France. Illustration : fécondation in vitro. Sukharevskyy Dmytro / stock.adobe.com
Très attendue par la communauté scientifique, une étude publiée mercredi 16 juillet dans le New England Journal of Medicine dresse le bilan du don de mitochondrie. Autorisé au Royaume-Uni, ce dernier consiste à remplacer l’ADN mitochondrial de la mère par celui d’une autre femme. La technique fait débat en France.
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Je m'abonne La mitochondrie est une petite structure présente dans nos cellules. Elle joue un rôle important puisqu’elle transforme les nutriments en énergie. Or, quand elle fonctionne mal, comme c’est le cas chez une personne sur 5 000, elle peut être à l’origine d’un ensemble de maladies dégénératives particulièrement graves (cécité, surdité, diabète, dégénérescence musculaire…), et pour certaines potentiellement mortelles dans l’enfance.
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