Le scandale de l'urbanisme à Milan a conduit à un effondrement du soutien des médias sociaux au maire Beppe Sala.

Suite à la publication de l'enquête pour corruption en matière d'urbanisme impliquant des élus municipaux, des promoteurs et même le maire de Milan, Beppe Sala, l'opinion publique en ligne a radicalement changé. Les données publiées par l'agence de communication Arcadia montrent une forte baisse de l'opinion positive à l'égard de Sala : entre le 12 et le 14 juillet, avant l'éclatement de l'affaire, 54 % des contenus analysés étaient favorables, contre 31 % critiques. Au cours des trois jours suivants, du 15 au 17 juillet, la situation s'est inversée : les commentaires négatifs ont grimpé à 63 %, tandis que les commentaires positifs ont chuté à 15 %.

L'enquête du parquet met en cause l'existence d'un système de faveurs et de corruption dans la gestion de l'urbanisme milanais, visant à accélérer l'approbation des projets de construction. L'assignation à résidence a été demandée à l'encontre de plusieurs fonctionnaires, dont le conseiller à l'urbanisme Giancarlo Tancredi et l'ancien président de la Commission du paysage Giuseppe Marinoni .

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