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Ils espèrent qu’avec de nouveaux juges, la dynamique du TEPJF changera.

Ils espèrent qu’avec de nouveaux juges, la dynamique du TEPJF changera.

La juge Janine Otálora Malassis a estimé que l'arrivée de deux nouveaux membres à la Chambre supérieure du Tribunal électoral du pouvoir judiciaire fédéral (TEPJF), ainsi que le renouvellement de la présidence, seront bénéfiques pour ce tribunal suprême, car ils devraient changer les critères et la dynamique qui ont longtemps été exprimés en séance plénière.

L'Institut National Électoral a validé et remis les certificats de majorité aux deux juges nouvellement élus de la Chambre Supérieure du TEPJF : Claudia Valle Aguilasocho et Gilberto de Guzmán Bátiz García ; ce dernier sera le prochain président du Tribunal Électoral.

Grâce à eux, l'ensemble du tribunal électoral suprême sera pleinement intégré. Depuis deux ans, il était incomplet et ne comptait que cinq juges. Cela permet au bloc composé de la présidente de la Cour suprême, Mónica Soto Fregoso, et des juges Felipe Fuentes Barrera et Felipe de la Mata Pizaña de prévaloir dans les décisions.

« En principe, la dynamique de travail pourrait changer. Tout dépendra également de la personne qui préside la Chambre supérieure, de sa dynamique et des propositions qu'elle apportera. Il est certain que la personne qui préside est, à certains égards, un peu comme un chef d'orchestre (...). Oui, il est probable que certaines dynamiques se renouvellent, bref, c'est là, disons, le grand avantage d'un renouvellement progressif des organes. De nouvelles personnes arrivent, de nouveaux critères, de nouvelles visions du travail », a déclaré la juge Otálora Malassis à El Economista.

Concernant la présidence de la Chambre supérieure, il a indiqué que le juge ayant obtenu le plus de voix la dirigera.

La qualification des élections

Dans un autre domaine, la juge Otálora Malassis a souligné que le TEPJF devra faire face à des défis importants, notamment l'analyse de la possibilité d'annuler l'ensemble de l'élection si un candidat le demande.

"Il faudra d'abord débattre d'une juridiction pour résoudre les contestations des candidatures aux chambres régionales (...) Il faudra aussi voir, en ce moment, les décomptes sont contestés (...) le grand débat sera de savoir si un recomptage peut être effectué et dans quelles conditions et quelle autorité est chargée, le cas échéant, du décompte des voix, ce qui sera aussi une question importante", a-t-il dit.

Il a également reconnu que le recomptage des votes pour les élections des tribunaux de district ou des tribunaux collégiaux « est une question plus complexe en raison du scrutin lui-même ».

Il a également souligné que le cas des bureaux de vote annulés sera une autre question de grande importance, car, a-t-il noté, bien que l'INE ait déjà annulé un peu plus de 800 bureaux de vote en raison d'irrégularités, il reste à voir s'il y a d'autres bureaux de vote qui devront être annulés ou directement contestés devant le TEPJF.

En plus de prévoir la possibilité que « finalement, si un candidat arrive en demandant l'annulation de l'élection ».

À ce propos, le juge s'est dit confiant que tout puisse être résolu avant le 28 août, date limite pour conclure les questions liées à cette élection.

Eleconomista

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