Aujourd'hui dans l'actualité : Travail flexible, maternelle et CP

Le projet de loi du gouvernement modifiant le droit du travail prévoit désormais que le travail flexible pour les parents d'enfants de moins de 12 ans prendra en compte le travail « habituellement » effectué les week-ends ou les jours fériés. Le secteur privé a postulé pour des postes qui ne répondent qu'à 10 % des besoins préscolaires identifiés par le gouvernement. Lisez les gros titres de la presse nationale ce mercredi.
Le gouvernement veut empêcher les parents de refuser de travailler le week-endLes projets d'amendements du gouvernement au Code du travail prévoient que les horaires de travail flexibles pour les parents d'enfants de moins de 12 ans prendront en compte le travail « habituellement » effectué les week-ends et les jours fériés . Cette modification contredit l'arrêt rendu il y a trois ans par la Cour suprême de justice, qui stipulait que les horaires de travail flexibles « n'excluent pas l'inclusion du repos hebdomadaire, y compris le samedi et le dimanche » pour les parents d'enfants de moins de 12 ans . Bien que cette disposition puisse encore être modifiée par consultation sociale et au Parlement, le projet de loi précise que, bien qu'il continue d'indiquer que les horaires de travail flexibles sont conçus par l'employeur, il stipule désormais que cela se fera sur proposition du salarié.
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Les établissements privés n'ont postulé que pour 1 200 des 12 000 places préscolaires vacantes.Les établissements privés n'ont déclaré être disponibles que pour créer 1 253 nouvelles places et huit nouvelles classes dans le système préscolaire, alors que le gouvernement a identifié plus de 12 000 places vacantes pour lesquelles des accords de partenariat pourraient être signés avec le secteur privé afin de répondre aux besoins non satisfaits par les jardins d'enfants publics. Les chiffres, qui figurent sur les listes publiées lundi sur le site web de la Direction générale de l'administration scolaire (DGAE), sont encore provisoires, mais au regard des places effectivement attribuées, ce chiffre est encore plus insuffisant, puisqu'il ne couvre que 10 % des besoins.
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Le CP, avec moins de wagons, envisage de supprimer la ligne du DouroLes automotrices espagnoles louées par le CP atteignent leur limite de kilométrage et seront restituées à Renfe, privant ainsi le transporteur ferroviaire portugais de la marge nécessaire pour maintenir son service régulier, avec d'importantes difficultés attendues cet été. Une solution envisagée consiste à supprimer trois trains dans chaque sens sur la ligne du Douro entre Marco de Canaveses et Peso da Régua. Le CP disposait encore de 12 automotrices UTD (unités diesel triples), mais en restituera trois dans les prochaines semaines. Le bail ne prend fin qu'à la fin de l'année, car le nombre de kilomètres parcourus depuis la dernière révision majeure a déjà atteint 650 000, ce qui nécessiterait des travaux de maintenance supplémentaires et coûteux.
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Statkraft quitte le Portugal et abandonne son investissement dans l'énergie solaire et éolienne offshoreAprès un peu plus de deux ans, le géant énergétique public norvégien Statkraft quittera le Portugal et abandonnera tous ses investissements prévus dans le pays, de l'énergie solaire à l'éolien offshore , comme l'a confirmé au Jornal de Negócios son directeur du développement commercial pour le marché intérieur, João Schmidt. L'objectif était d'atteindre une capacité installée comprise entre 300 et 500 MW d'ici 2030, et les capitaux disponibles ne constitueraient pas un obstacle . Schmidt assure que l'entreprise ne maintiendra que ses contrats d'achat d'électricité (CAE), qui seront désormais gérés par le bureau de Madrid et Tiago F. Thomaz, directeur d'Origination Iberia .
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Des indemnités d'interruption de grossesse ont été versées à près de six mille travailleuses cette annéeDepuis le début de l'année et jusqu'au 18 juillet, 5 622 travailleuses ont perçu l'allocation d'interruption volontaire de grossesse (IVG), pour un montant mensuel moyen de 1 053,79 €. Selon le ministère du Travail et de la Sécurité sociale, si une femme ne dispose pas de cotisations suffisantes pour bénéficier de cette allocation, elle peut en faire la demande. Cette année, 14 bénéficiaires ont bénéficié de cette allocation, pour un montant moyen de 358,70 €. Cette allocation est destinée aux travailleuses en cas d'interruption volontaire ou involontaire de grossesse, ainsi qu'en cas de fausse couche, et leur garantit un congé de 14 à 30 jours, correspondant à 100 % de leur salaire de référence.
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