Il y aura des amendes pour ceux qui sacrifient des animaux dans la rue

Durant l'Aïd al-Adha, des mesures ont été prises pour prévenir les effets négatifs sur la santé publique et environnementale des activités susceptibles de polluer l'environnement sur les sites de vente et d'abattage d'animaux sacrificiels. Conformément à ces mesures, les institutions compétentes procéderont à des inspections sur les sites de vente et d'abattage d'animaux sacrificiels déterminés par les municipalités tout au long de l'Aïd al-Adha. Outre ces inspections, des mesures seront également prises pour empêcher l'abattage d'animaux sacrificiels devant les appartements, dans les rues et dans les parcs. Des amendes seront également infligées aux contrevenants. Ceux qui pratiquent l'abattage dans des lieux publics tels que les parcs, les jardins, les avenues, les rues, devant des bâtiments et des places, en violation de la loi environnementale, et ceux qui ne prennent pas les précautions nécessaires dans les zones propices à l'abattage se verront infliger une amende administrative de 6 923 livres. Les établissements qui ne respectent pas les interdictions nécessaires sur les sites d'abattage d'animaux sacrificiels et qui enfouissent les déjections animales sacrificielles dans le sol sans prendre de précautions seront passibles d'une amende administrative de 668 677 lires pour abattage de masse. Si des déjections animales sacrificielles sont enterrées dans des habitations, les contrevenants seront passibles d'une amende administrative de 16 609 lires. Ceux qui maltraitent intentionnellement les animaux, les battent, les laissent affamés ou assoiffés, les exposent à un froid ou une chaleur extrêmes, négligent leurs soins ou leur infligent des souffrances physiques et psychologiques seront passibles d'une amende de 10 386 lires par animal. Ceux qui contreviennent à l'obligation de maintenir les animaux en bonne santé, de veiller à la propreté et au respect des conditions sanitaires de leurs abris dans les points de vente seront passibles d'une amende de 3 462 lires, et ceux qui contreviennent à la réglementation relative à l'abattage des animaux prévue par la loi sur la protection des animaux seront passibles d'une amende de 14 538 lires par animal. Ceux qui ne respectent pas les interdictions seront passibles de poursuites pénales de la part des unités compétentes du ministère de l'Intérieur, du ministère de l'Agriculture et des Forêts, du ministère de l'Environnement, de l'Urbanisation et du Changement climatique, ainsi que des municipalités.
Source : CENTRE D'INFORMATIONS
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