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Aperçu de l'ACC : La route vers le titre devrait à nouveau passer par Clemson

Aperçu de l'ACC : La route vers le titre devrait à nouveau passer par Clemson

Pour être le meilleur, il faut le battre. C'est le mantra du grand lutteur Ric Flair, originaire de Charlotte, et cela décrit assez fidèlement la course au titre annuelle de l'ACC. Depuis 14 ans, la couronne de l'ACC revient soit aux Clemson Tigers de Dabo Swinney, soit à quelqu'un qui a réussi à les battre en saison régulière.

Au cours des 10 dernières années, Clemson a remporté huit titres. Même si le statut des Tigers comme prétendants au titre national a diminué – ils ont terminé de la 13e à la 20e place du sondage AP pendant quatre années consécutives après six top 4 consécutifs – ils ont partagé les quatre derniers titres de conférence. L'année dernière, ils sont devenus les premiers à tenter de remporter les playoffs universitaires, éliminant SMU à Charlotte pour décrocher la dernière place en playoffs face à l'Alabama. Avec le pourcentage de production de retour le plus élevé du pays, les Tigers abordent 2025 non seulement avec la faveur des favoris pour défendre leur titre, mais ils suscitent également l'engouement pour le top 5.

J'ai été assez sceptique quant à ce dernier engouement – ​​nous en parlerons plus loin – mais il ne fait aucun doute que les Tigers abordent 2025 avec la plus grande probabilité de remporter le titre de l'ACC. Qui d'autre pourrait prétendre à ce titre ? SMU reviendra-t-elle après avoir frôlé le titre lors de ses débuts en conférence ? Miami parviendra-t-elle enfin à faire fonctionner son attaque et sa défense simultanément ? Sachant que battre Clemson en saison régulière est évidemment une condition préalable à la gloire de l'ACC, des équipes comme Louisville ou Duke sauront-elles saisir ces opportunités ? Et de quoi Florida State est-elle capable après avoir subi le pire des effondrements en 2024 ?

La conférence la plus géographiquement déjantée du football universitaire majeur a de nombreux rebondissements à l'approche de l'automne. Aperçu de l'ACC !

Chaque semaine pendant l'été, Bill Connelly présentera un aperçu d'une nouvelle conférence FBS, incluant les 136 équipes FBS. Les aperçus incluent les analyses de 2024 et de 2025, ainsi que des capsules par équipe. Voici les aperçus de MAC , Conference USA , Mountain West , Sun Belt , AAC et Indie/Pac-12 .

Récapitulatif de 2024

Bien que Clemson ait effectivement remporté la course, le parcours de l'ACC jusqu'en 2024 a été fascinant, avec Cal (et sa base de fans en ligne ) générant un buzz précoce et apportant "College GameDay" en ville, Florida State subissant un effondrement historique, Miami atteignant jusqu'à la quatrième place dans les sondages lors d'un début de saison 9-0, Georgia Tech marquant quelques victoires bouleversantes (et en obtenant presque une troisième), Duke et Syracuse chacun remportant des victoires serrées pour de grandes saisons (ils étaient un combiné de 13-3 dans des finitions à un score) et SMU roulant vers une saison régulière de 8-0 dans le jeu ACC - après avoir presque perdu contre le Nevada lors du premier match de la saison et avoir fait un changement de quart-arrière précoce, rien de moins.

Louisville a perdu trois matchs de conférence par un touchdown ou moins, la défense de Miami n'a pas fait son apparition en fin de saison, et après avoir semblé être au milieu d'une saison perdue (selon les standards de Clemson), les Tigers étaient là pour intervenir, décrocher une place dans le match pour le titre et battre SMU avec un field goal au buzzer dans l'un des meilleurs matchs de l'année.

Clemson et SMU ont tous deux atteint – et perdu au premier tour – les éliminatoires du football universitaire, couronnant une saison folle.

Ah oui, et puis la Caroline du Nord a embauché Bill Belichick . On ne peut pas l'oublier.

Tableau de continuité

Le tableau de continuité examine les niveaux de production de retour de chaque équipe (attaque, défense et global), le nombre de FBS 2024 à partir des joueurs de retour et entrants et le nombre approximatif de freshmen redshirt sur la liste en direction de 2025. (Pourquoi « approximatif » ? Parce que les écoles rendent parfois très difficile de déterminer qui a redshirté et qui ne l'a pas fait.) La continuité est un art de plus en plus difficile dans la gestion des effectifs, mais certaines équipes y parviennent mieux que d'autres.

Bien que la moyenne nationale de production de retour soit d'environ 53 % cette saison, l'ACC est l'une des trois conférences (avec la Big 12 et la SEC) à atteindre une moyenne de 59 % ou plus. Clemson, avec 80 %, est en tête au niveau national, et sept autres équipes affichent 60 % ou plus. Les Tigers ont atteint ce chiffre de plusieurs manières. Swinney a ajouté trois transferts à l'effectif de Clemson, un chiffre colossal selon ses critères, mais Clemson effectue toujours moins de travail de portail que n'importe quelle académie non militaire du pays. D'autres, comme Stanford, Pitt et Boston College, n'en font pas beaucoup non plus. BC rejoint un club étrange : parmi les équipes des six conférences que j'ai prévisualisées jusqu'à présent, seules BC, Ball State et Missouri State comptent moins de 10 départs entrants issus de transferts et moins de 10 freshmen redshirt. C'est une combinaison assez étrange.

Pendant ce temps, Louisville de Jeff Brohm fait plus de travail de portail que la plupart, et parmi les meilleures équipes dans la colonne de production de retour, Miami, Louisville, FSU et Duke y sont tous arrivés en partie grâce à l'ajout de quarts-arrière transférés.

Projections pour 2025

On observe une stratification assez marquée au sommet, où Clemson, n° 1 de l'ACC, et SMU, n° 3, sont séparés par 10,2 points, un écart supérieur à celui entre Duke, n° 6, et Wake, n° 16. Les Tigers sont pressentis comme favoris avec au moins 12 points d'avance dans sept des huit matchs de championnat et pourraient réaliser leurs plus grands défis lors de deux confrontations hors conférence contre la SEC : la visite de LSU en semaine 1 et le déplacement en Caroline du Sud pour le dernier match de la saison régulière.

La note de Miami pourrait surprendre. Les Hurricanes bénéficient évidemment de l'excellente attaque de l'an dernier : ils sont toujours considérés comme la meilleure attaque du pays malgré la perte de huit titulaires. La barre sera haute, mais la défense a également une chance de progresser au-delà de la 44e place. On verra bien.

En raison de la volatilité des projections, Clemson n'a qu'environ 2 chances sur 7 de remporter la ligue, et Miami, SMU et Louisville pourraient chacun se qualifier pour le titre. NC State, quant à lui, dispose d'un calendrier de conférence assez pratique si vous cherchez un joueur inattendu.

Les cinq meilleurs jeux de 2025

Voici les quatre matchs de conférence qui présentent (A) les notes SP+ combinées les plus élevées pour les deux équipes et (B) une marge de score projetée inférieure à 10 points, plus un match hors conférence gigantesque de la semaine 1.

LSU à Clemson (30 août). Il y a d'autres matchs importants hors conférence de l'ACC – Notre Dame à Miami en semaine 1 et Clemson-Caroline du Sud à la fin – mais j'adore que ce match soit présenté en semaine 1, car il y a peu d'équipes sur lesquelles j'ai autant de questions que LSU et Clemson. Répondons sans plus attendre à quelques-unes de ces questions.

Miami à Florida State (4 octobre). À ce stade, Miami aura déjà accueilli Notre Dame et Florida en match hors conférence. Mais le match d'ouverture des Canes en ACC à Tallahassee nous en dira long sur les deux équipes.

Louisville à Miami (17 octobre). L'un des matchs les plus importants du vendredi soir de la saison. Louisville accueille Clemson en novembre, mais pour espérer remporter le titre ACC, les Cardinals devront peut-être s'imposer soit à ce match, soit à SMU fin novembre.

Miami à SMU (1er novembre). Miami a trois matchs à un mois d'intervalle sur cette liste. Les prévisions de Clemson étant très favorables, Miami pourrait être l'équipe la plus importante dans la course au titre. Si les Canes ne se qualifient pas pour le match de championnat à Charlotte, ils auront un rôle crucial à jouer.

Clemson à Louisville (14 novembre). Le match de conférence le plus serré prévu pour Clemson. Les Tigers doivent se rendre à Louisville un an après leur élimination 33-21 par les Cardinals à Death Valley East.

Candidats au titre de conférence (et donc au CFP) Tigres de Clemson

Entraîneur principal : Dabo Swinney (17e année, 180-47 au total)

Projection 2025 : huitième en SP+, 10,0 victoires en moyenne (6,8 dans l'ACC)

Salut à tous les supporters des Tigers ! Plus que tout autre supporter durant l'intersaison, vous m'avez accusé de détester votre équipe à cause de mon scepticisme affiché envers ses cinq meilleurs. Nous y reviendrons, mais je tiens à préciser que ce scepticisme ne s'applique pas à la course à l'ACC.

Encore une fois, la moyenne nationale de production des joueurs de retour est actuellement d'environ 53 %. Celle de Clemson est de 80 %. Les Tigers récupèrent le quarterback Cade Klubnik (3 639 yards, 36 touchdowns la saison dernière) et trois de ses quatre meilleurs receveurs : le junior Antonio Williams et les sophomores Bryant Wesco Jr. et TJ Moore (combinés : 2 263 yards et 21 touchdowns l'an dernier). De plus, le sophomore Tyler Brown , blessé en 2024, revient après avoir attrapé 52 passes en 2023. Ajoutez à cela la plus rare des raretés de Clemson, un receveur transféré – Tristan Smith (934 yards et six touchdowns à SE Missouri State) – et vous obtenez un groupe de joueurs talentueux et prometteurs, malgré la perte de leur meilleur rusher Phil Mafah. (L'arrière de deuxième année Jay Haynes a facilement surpassé Mafah avec une moyenne de 6,9 ​​yards par course dans un petit échantillon, bien qu'il revienne d'une déchirure du LCA en fin de saison.)

Derrière tout ce talent se trouve ce qui devrait être la meilleure ligne offensive de Clemson depuis des lustres, avec quatre titulaires seniors de retour, dont le tackle droit Blake Miller , sélectionné parmi les meilleures de la conférence. Les Tigers ont grimpé à la 16e place en SP+ offensif la saison dernière, loin du classement des attaques de Deshaun Watson et Trevor Lawrence, mais en nette amélioration par rapport aux unités de la période 2021-2023, qui affichaient une moyenne de 50,3. Si une production importante de retours se traduit par une amélioration (et c'est souvent le cas), ils pourraient facilement intégrer leur première attaque dans le top 10 depuis cinq ans.

La défense, quant à elle, était incroyablement jeune en 2024. Dix-huit défenseurs ont disputé au moins 200 snaps, 13 d'entre eux sont de retour et neuf sont encore en deuxième ou troisième année. Parmi eux, des stars absolues comme l'ailier TJ Parker (11 sacks, 17 arrêts de course), le tackle Peter Woods (7,5 plaquages ​​pour perte à 131 kg), le linebacker Sammy Brown (11,5 TFL, cinq sacks) et le cornerback Avieon Terrell (cinq TFL, 13 passes défendues), sans oublier le rare senior Wade Woodaz (15 arrêts de course). Will Heldt , défenseur transféré de Purdue (11 TFL pour une défense lamentable), pourrait également ajouter des stars. Après trois années consécutives de dégradation de la défense sous la direction du coordinateur Wes Goodwin, Swinney a cherché un joueur plus stable en la personne de Tom Allen, ancien DC de Penn State. Une amélioration est probable, et un premier classement défensif SP+ dans le top 10 depuis 2021 n'est pas hors de question.

Placer Clemson en tête de la liste ACC est une évidence. Cela fait des Tigers l'un des choix les plus sûrs pour accéder au CFP. Là où j'ai du mal, c'est à les imaginer remporter trois ou quatre matchs de playoffs.

Pour commencer, avec tous ces meneurs de jeu, la défense de Clemson s'est classée seulement 51e en taux de réussite autorisé et 103e en yards autorisés par jeu réussi et a enregistré son pire classement SP+ (29e) depuis 2012. La défense de course était médiocre même avec les efforts de Woods à l'avant, et la défense de passe était simplement bonne, pas excellente.

Les Tigers n'ont pas non plus brillé en termes d'explosivité offensive. Mafah et Haynes ont produit de belles courses, mais les Tigers se sont classés 80e en yards par dropback réussi, et Klubnik n'a réalisé qu'une moyenne de 11,7 yards par passe complétée, malgré l'explosivité de Wesco et Moore. Ils pourraient évidemment faire bien plus, mais je crains que le classement du top 5 de pré-saison ne soit une réaction excessive à quelques belles réceptions de Moore lors de la défaite en CFP contre Texas. De plus, Clemson a largement bénéficié de la chance sur les ballons perdus , notamment lors du match pour le titre de l'ACC, et sans ces rebonds à Charlotte, impossible de parler d'une équipe du top 5.

Mais c'est le détracteur qui parle, j'imagine. J'ai hâte de voir Clemson en 2025, surtout parce que nous découvrirons exactement de quoi le programme de Swinney est capable au milieu des années 2020. Si les Tigers veulent redevenir élites, il faut compter sur cette équipe merveilleusement expérimentée. Si l'attaque, en manque de dynamisme depuis des années, veut à nouveau produire des explosions, ce sera grâce à Klubnik qui distribuera les passes à Wesco, Moore, Haynes et compagnie. Si la défense veut rebondir, ce sera grâce à cette combinaison d'expérience et à un nouveau DC confirmé. Ce sera très amusant de découvrir de quoi les Tigers sont capables. Et il y a une chance qu'ils prouvent que ce détracteur a tort.

Hurricanes de Miami

Entraîneur principal : Mario Cristobal (quatrième année, 22-16 au total)

Projection 2025 : 12e en SP+, 9,2 victoires en moyenne (6,3 en ACC)

Je n'arrive pas à m'en remettre. Mené de sept points et confronté à un quatrième et goal des Syracuse 10 à moins de quatre minutes de la fin, Cristobal a pris le ballon des mains de Cam Ward, premier choix, et a choisi de tirer un field goal, espérant que sa défense, qui avait concédé des touchdowns lors de quatre possessions sur cinq et était restée inactive pendant la majeure partie des deux mois précédents, pourrait faire un dernier arrêt. Il était douloureusement évident que ce ne serait pas le cas. Et ce ne fut pas le cas. Ward n'a plus touché le ballon, et Miami s'est incliné 42-38, s'évanouissant ainsi de ses espoirs de titre en ACC et de CFP.

Ce n'est pas la décision de gestion de match la plus désastreuse prise par Cristobal depuis son arrivée à la tête de l'Université en 2022, mais elle a une fois de plus cristallisé les contradictions inhérentes à son expérience. Il va recruter comme un fou, aligner une équipe de plus en plus talentueuse, et au moment de gagner, il va commettre une grave erreur de calcul.

Pourtant, après une première saison décevante – Miami est tombé à 5 victoires et 7 défaites et 71e en SP+ en 2022 – la situation s'est considérablement améliorée. Les Canes ont grimpé à 7 victoires et 6 défaites et 28e en 2023, et même avec une défense qui a été très efficace contre eux pendant la moitié de la saison, ils ont encore progressé, atteignant 10 victoires et 3 défaites et 10e en SP+ la saison dernière. À un moment donné, avec la bonne combinaison de talent et de jeu du quarterback, vos propres problèmes de gestion de match peuvent disparaître. (Vous souvenez-vous de l'époque où nous trouvions Andy Reid un piètre gestionnaire ?)

Je ne dis pas que Miami sera aussi talentueux en 2025, mais il y a au moins une chance. Carson Beck arrive de Géorgie après avoir cumulé 3 485 yards et 28 touchdowns la saison dernière. Il a alterné entre l'apparence du meilleur quarterback du football universitaire et des interceptions déconcertantes (12 au total), mais il aura à ses côtés les arrières Mark Fletcher Jr. et Jordan Lyle (combinés : 1 007 yards, 6,1 par course), le séduisant CharMar Brown, transféré de North Dakota State, et une ligne très expérimentée, menée par le tackle Francis Mauigoa , devant lui. Cristobal a dû reconstruire entièrement le corps des receveurs, qui ne renvoie jamais un receveur ayant capté plus de 10 passes. Je ne suis pas sûr qu'il ait fait le travail là-bas, mais entre les receveurs CJ Daniels (Liberty/LSU) et Keelan Marion (BYU) et les jeunes joueurs de premier ordre qui reviennent comme Joshisa Trader et l'ailier rapproché Elija Lofton , il pourrait y en avoir assez.

L'attaque a couvert la défense autant que possible la saison dernière – les Canes ont même affiché un bilan de 3 victoires et 2 défaites tout en encaissant 34 points ou plus – mais Cristobal avait besoin de beaucoup de sang neuf de ce côté-là et l'a obtenu. Le nouveau coordinateur Corey Hetherman a mené Minnesota à la 11e place du classement SP+ défensif en 2024, et il prend la tête d'une unité qui compte cinq titulaires et neuf transferts. Le front défensif semble solide grâce au retour des tackles Akheem Mesidor et Rueben Bain Jr. – ils ont cumulé 15 arrêts de course et neuf sacks malgré l'absence de Bain pendant quatre matchs – et à l'arrivée du tackle David Blay (Louisiana Tech). Si les étudiants de deuxième année Justin Scott et Armondo Blount, deux joueurs de premier ordre, se développent correctement, la ligne défensive sera redoutable. Le transfert Mohamed Touré (Rutgers) pourrait s'associer au senior Wesley Bissainthe pour former un bon corps de linebackers. Mais les pannes à l'arrière ont été dévastatrices l'an dernier, et Hetherman doit espérer qu'une défense secondaire remodelée y remédiera. Cristobal a recruté quatre nouveaux cornerbacks, menés par le meneur de jeu de Washington State, Ethan O'Connor , ainsi que Jakobe Thomas (Tennessee) et les potentiels cornerbacks Zechariah Poyser (Jacksonville State) et Kamal Bonner (NC State). Le cornerback de retour, OJ Frederique Jr. , pourrait également progresser.

J'apprécie l'équipe de Miami dans les tranchées, et malgré quelques interceptions occasionnelles, Beck est un très bon quarterback. Mais Miami aura besoin de l'efficacité de ses receveurs et de sa défense secondaire pour s'imposer. Je suis quasiment certain que ce sera le cas pour cette dernière, mais je ne suis pas certain que Beck aura suffisamment de receveurs performants.

Mustangs de la SMU

Entraîneur principal : Rhett Lashlee (quatrième année, 29-13 au total)

Projection 2025 : 20e en SP+, 8,4 victoires en moyenne (5,3 en ACC)

Si l'on se base uniquement sur les performances comparées à l'histoire récente, il n'y a peut-être pas de meilleur entraîneur de football universitaire que Rhett Lashlee. Avant son arrivée, les Mustangs avaient enregistré plus de 11 victoires lors de leurs deux dernières saisons, en 1982 et… 1935 ; il a récidivé en 2023 et 2024. Ils n'avaient plus terminé dans le top 25 SP+ depuis 1983-1984 ; ils sont passés de la 56e à la 24e place en 2023, puis à la 12e en 2024. Lorsqu'il a pris les rênes de l'équipe il y a trois ans, SMU était une équipe AAC supérieure à la moyenne. Aujourd'hui, elle défend sa place en CFP.

Un échantillon de deux ans suffit-il à proclamer Lashlee meilleur entraîneur du sport ? Probablement pas. Bon, certainement pas. Mais waouh ! Chad Morris (12-13 en 2016-17) et Sonny Dykes (30-17 en 2018-21) ont contribué à remettre ce programme sur pied, mais Lashlee l'a transformé de la tête aux pieds.

Les Mustangs de 2024 ont dû faire face à des problèmes de quarterback en début de saison – le titulaire Preston Stone a été remplacé par Kevin Jennings à peine deux semaines après le début de la saison – et ont commis beaucoup trop de pénalités et de pertes de balle. Ils ont également réalisé bien plus de jeux importants que leurs adversaires, ont beaucoup moins joué à trois tentatives, ont créé plus de jeux négatifs et ont dominé les troisièmes essais, enregistrant ainsi un bilan de 11 victoires et 1 défaite en saison régulière. Il leur fallait un rebond supplémentaire contre Clemson lors du match pour le titre de l'ACC, et Jennings s'est brièvement auto-détruit dans une ambiance incroyablement bruyante à Penn State lors du CFP, mais ce fut une saison incroyable. SP+ avait projeté SMU comme une équipe du top 25 et un prétendant potentiel à l'ACC, et les Mustangs ont quand même été sous-estimés.

Le tableau de continuité ci-dessus est plutôt encourageant pour 2025. Jennings (3 245 yards à la passe, 436 yards à la course avant sack, 28 touchdowns au total) est l'un des six titulaires de retour en attaque. La ligne offensive compte deux prétendants au titre de All Conference, le tackle PJ Williams et le meneur Logan Parr . Le cornerback Deuce Harmon et les safeties Isaiah Nwokobia et Robert Rahimi (un joueur de San Jose State, un joueur de premier plan) constituent le pilier de ce qui devrait être une défense solide. Mais bien que Lashlee soit habitué à la vie de portail de transfert, il a dû s'atteler sérieusement à reconstruire à la fois le corps des talents (qui a perdu ses deux meilleurs RB et trois de ses quatre meilleurs WR) et le front défensif (qui a perdu huit des douze joueurs ayant plus de 200 snaps). Trois Mustangs ont gagné au moins 500 yards au scrimmage l'an dernier, et quatre ont réalisé au moins neuf TFL. Ils sont tous partis.

Lashlee a ajouté deux solides receveurs de passes, TJ Harden (UCLA) et Chris Johnson Jr. (Miami), et le receveur Yamir Knight (James Madison) est un excellent joueur d'efficacité. De son côté, le linebacker Zakye Barker (13,5 TFL à East Carolina) est quasiment assuré, et le defensive tackle Terry Webb (six arrêts de course et 1,5 sacks pour 131 kg) est performant pour son gabarit. Mais la perturbation en attaque a été essentielle au succès défensif de SMU, et Webb est le seul joueur de ligne véritablement perturbateur parmi les neuf nouveaux joueurs transférés. Certains nouveaux joueurs et/ou jeunes joueurs devront élever leur niveau de jeu pour que SMU puisse revenir à Charlotte ou en CFP.

Le calendrier semble certainement plus compliqué cette fois-ci. Après des duels hors conférence contre Baylor (à domicile) et TCU (à l'extérieur), SMU affronte les trois autres équipes de cette section des prétendants au titre : Miami et Louisville à domicile et Clemson à l'extérieur. Après ce que Lashlee et les Mustangs ont accompli ces deux dernières années, douter d'eux semble assez insensé. Mais ils ont du pain sur la planche en 2025.

Cardinals de Louisville

Entraîneur principal : Jeff Brohm (troisième année, 19-8 au total)

Projection 2025 : 24e en SP+, 8,3 victoires en moyenne (4,8 en ACC)

Le programme de Louisville de Brohm est très dynamique. Le changement est permanent. En 2023, il a pris les rênes d'une équipe classée 41e en SP+ avec un bilan de 8 victoires et 5 défaites. Il a fait sortir 25 transferts, en a fait entrer 25, portant ainsi les Cardinals à 10 victoires et 4 défaites, soit la 34e place. En 2024, 30 transferts ont été retirés, 32 sont entrés et les Cardinals ont continué à progresser, atteignant la 21e place avec un bilan de 9 victoires et 4 défaites. L'attaque s'est améliorée chaque année, tandis que la défense et les unités spéciales ont empiré.

En théorie, dès votre troisième année, vous souhaitez probablement avoir votre culture et vos propres recrues en place, ce qui nécessitera moins de transferts entrants et sortants. Mais Brohm ne voit pas les choses de cette façon. Il a perdu 28 transferts et en a recruté 30. Les Cardinals comptent des joueurs de retour exceptionnels : les running backs Isaac Brown et Duke Watson (combinés : 1 770 yards, 7,6 par course !), le receveur Chris Bell (737 yards, 17,1 par réception), le centre potentiel de la conférence Pete Nygra , les linebackers ultra-perturbateurs Stanquan Clark et Antonio Watts (combinés : 16,5 TFL, 11 passes défendues) et le safety D'Angelo Hutchinson (cinq défaites, cinq arrêts de course). Mais ce sont de loin les seuls joueurs de retour qui ont fait leurs preuves. Brohm et son coordinateur offensif (et frère) Brian Brohm auront leur troisième quarterback titulaire en autant d'années – probablement Miller Moss, transféré de l'USC – et accueilleront quatre receveurs, trois tight ends et sept linemen via le portail. Les Brohms ont généralement de bonnes attaques et sont clairement habitués au changement, mais ce carrousel ne ralentit pas.

La défense a effectivement évolué dans la mauvaise direction ces derniers temps, il n'est donc peut-être pas trop inquiétant que 14 des 19 défenseurs ayant plus de 200 snaps soient partis. Le corps des linebackers semble excellent, et Brohm a ajouté plusieurs éléments perturbateurs avérés via le portail : l'ailier Clev Lubin (9,5 sacks à Coastal Carolina), le tackle Jerry Lawson (14 TFL à 295 livres à Abilene Christian), le safety JoJo Evans (sept passes défendues et quatre arrêts de course à Florida International), les cornerbacks Justin Agu et Jabari Mack (combinés : 20 passes défendues à Louisiana et Jacksonville State, respectivement) et le cornerback/safety Rodney Johnson Jr. (cinq TFL, trois passes défendues à Southern), entre autres.

Vivre la vie de portail signifie que votre service de recrutement doit constamment décrocher le jackpot. Demandez à Mike Norvell de Florida State – un génie du portail en 2022, un génie du portail en 2023 et un désastre en 2024 – comment cela peut se passer. Mais le QBR de Moss (74,4) a quasiment égalé celui du titulaire de l'année dernière, Tyler Shough (75,0) ; le trio Brown, Watson et Bell est le plus explosif de la conférence ; et il n'y a aucune raison de penser que la défense soit moins talentueuse que la saison dernière. Comme SMU, Louisville affronte ses trois autres prétendants (Clemson à domicile, Miami et SMU à l'extérieur), et les Cardinals se déplacent également à Pitt et Virginia Tech. C'est un obstacle, et à un moment donné, une tendance à la stabilité serait bienvenue. Mais Brohm semble savoir gérer tous ces éléments en mouvement, et il ne serait pas surprenant que Louisville progresse pour une troisième année consécutive.

À quelques pauses d'une course Séminoles de l'État de Floride

Entraîneur principal : Mike Norvell (sixième année, 33-27 au total)

Projection 2025 : 36e en SP+, 6,8 victoires en moyenne (4,5 en ACC)

Pour toutes les raisons évidentes, je craignais une certaine gueule de bois pour FSU l'an dernier. Le chagrin causé par le refus injustifié du CFP en 2023, combiné à la perte du quarterback Jordan Travis, de la plupart d'un groupe de joueurs talentueux et de sept choix défensifs au repêchage, a fait des Seminoles des candidats à la régression, même si Norvell a fait preuve de discernement pendant l'intersaison et a réalisé un nouveau transfert solide sur le papier.

Bien sûr, si vous m'aviez demandé ce que signifiait « gueule de bois », j'aurais probablement estimé un bilan d'environ 7 victoires pour 5 défaites. FSU a affiché un bilan de 2 victoires pour 10 défaites ! La promotion de transfert n'a produit quasiment aucun joueur exceptionnel, et la situation des quarterbacks était encore pire qu'à la fin de 2023, après la blessure de Travis : DJ Uiagalelei, Brock Glenn et Luke Kromenhoek ont ​​été catastrophiques. Les Noles sont passés de la neuvième à la 58e place en SP+ défensif et de la 23e à la 114e place en attaque.

Il s'agissait d'un effondrement comparable à celui de la dernière saison de Bobby Petrino à Louisville, au Texas, après la déception du championnat BCS de 2009 et la déroute de Notre Dame en 2007 sous la direction de Charlie Weis. Il est à noter qu'aucun des entraîneurs en poste lors de ces effondrements n'a réussi à redresser la barre. Mais Norvell va essayer.

L'attaque, désormais coordonnée par le vétéran Gus Malzahn, ne pouvait pratiquement rien lancer, à part des transferts : du quarterback Thomas Castellanos (Boston College) au running back Gavin Sawchuk (Oklahoma), en passant par les receveurs Squirrel White (Tennessee), Duce Robinson (USC) et Gavin Blackwell (North Carolina), et enfin n'importe lequel des six nouveaux joueurs de ligne offensive. Le tackle Micah Pettus (Ole Miss), le meneur Adrian Medley (UCF) et le pivot Luke Petitbon (Wake Forest) sont d'emblée les joueurs de ligne les plus expérimentés de l'équipe. Castellanos était, honnêtement, un ajout décevant ; il a bien débuté la saison 2024 à BC, mais les blessures et les ajustements défensifs l'ont rendu inefficace et il a finalement été mis sur le banc. Cela dit, c'est un joueur rapide qui a débuté sa carrière avec Malzahn à UCF, et White et Robinson pourraient être excellents.

En défense, le nouveau coordinateur Tony White hérite d'une unité peu performante. Les tackles Darrell Jackson Jr. et Daniel Lyons , les linebackers Blake Nichelson et Omar Graham Jr. et le cornerback Quindarrius Jones sont solides, mais les transferts Deamontae Diggs (Coastal Carolina), Jayson Jenkins (Tennessee), James Williams (Nebraska) et Elijah Herring (Memphis) devront immédiatement améliorer la pression sur le passeur, et la profondeur des tackles semble fragile. Il existe suffisamment d'éléments confirmés pour supposer que la défense rebondira. En fait, l'effondrement a été si important la saison dernière qu'il faut s'attendre à une progression vers la moyenne partout . Mais quel rebond peut-on obtenir après un tel effondrement ? Et combien de matchs Norvell doit-il gagner pour être encore à Tallahassee en 2026 ?

Blue Devils de Duke

Entraîneur principal : Manny Diaz (deuxième année, 9-4 au total)

Projection 2025 : 41e en SP+, 6,8 victoires en moyenne (4,4 en ACC)

Mike Elko a ressuscité le programme de Duke, remportant 17 matchs en 2022-23. Mais lorsqu'il est parti pour Texas A&M, Manny Diaz a hérité d'une attaque qui avait besoin d'un nouveau quarterback et d'une refonte de sa ligne offensive. La défense avait été excellente sous Elko, mais 11 des 16 joueurs ayant disputé au moins 250 snaps en 2023 étaient partis. Une saison de relance semblait réaliste.

En regardant la production des Blue Devils, on pouvait difficilement dire qu'il y avait un quelconque changement.

Duke en 2022 (Elko) : 9-4, 42e en SP+ (55e attaque, 29e défense)

Duke en 2023 (Elko) : 8-5, 30e en SP+ (63e attaque, 25e défense)

Duke en 2024 (Diaz) : 9-4, 44e en SP+ (71e attaque, 31e défense)

Le jeu au sol a été un désastre, et le bilan de 6 victoires et 1 défaite de Duke, avec un seul point d'écart, a masqué ce qui aurait probablement dû ressembler à une saison à sept victoires. Mais Diaz et ses coéquipiers ont tenu bon.

Cette année, la profondeur de la ligne offensive semble bien plus forte, et sur les 17 défenseurs ayant effectué au moins 200 snaps, neuf reviennent, dont quatre des six linemen et quatre des six DB. Diaz a recruté l'un des meilleurs safetys du Groupe des 5, Caleb Weaver ( Sam Houston ), et des receveurs potentiellement prometteurs, Andrel Anthony (Oklahoma) et Cooper Barkate (Harvard), mais son coup de maître a été au poste de quarterback, avec Darian Mensah, arrivé de Tulane. Mensah a terminé sa saison de freshman 21e au classement des quarterbacks, à quelques points seulement de vétérans comme Klubnik (13e) et Haynes King (Georgia Tech) (14e). Les statistiques de Mensah étaient excellentes sur tous les plans, de l'efficacité (taux de réussite de 66 %) à l'explosivité (14,4 yards par réussite) en passant par la capacité à s'échapper (15,2 % de pressions transformées en sacks – un bon chiffre pour un joueur mobile). Le groupe de joueurs qualifiés est un peu incertain : cinq des sept meilleurs receveurs de l’année dernière sont partis, et Anthony, Barkate et le running back Anderson Castle (Appalachian State) pourraient tous avoir un impact immédiat. Mais Mensah est formidable, et la ligne semble solide. C’est un bon point de départ pour progresser.

Difficile de s'inquiéter outre mesure de la défense de Diaz, surtout avec une défense expérimentée à l'avant comme à l'arrière. Les ailiers Wesley Williams et Vincent Anthony Jr. (combinés : 20,5 TFL, 11 sacks) et le tackle Aaron Hall (7 TFL) sont bons, et le cornerback Chandler Rivers (6,5 TFL, 3 INT, 8 breakups) est excellent. Quatre des cinq meilleurs linebackers de l'année dernière sont partis, et Diaz n'a pas cherché à les remplacer au portail, ce qui signifie théoriquement qu'il est satisfait de ce qu'il a. Quoi qu'il en soit, les linebackers sont généralement plus faciles à remplacer que les linemen ou les demis défensifs, Duke a donc de l'expérience là où ça compte le plus. Je ne suis pas sûr que Mensah soit suffisamment aidé pour faire de Duke un outsider de l'ACC, mais la défense devrait offrir aux Blue Devils une belle marge de manœuvre.

Wolfpack de l'État de Caroline du Nord

Entraîneur principal : Dave Doeren (13e année, 87-65 au total)

Projection 2025 : 42e en SP+, 6,6 victoires en moyenne (4,0 en ACC)

« Ils auront besoin de nouveaux perturbateurs. (Gibson les trouve généralement.) » C'est ce que j'écrivais à propos de la défense de NC State dans l'aperçu de l'ACC de l'année dernière. Le coordinateur défensif Tony Gibson avait produit trois défenses consécutives parmi les 30 meilleures, selon le SP+, mais il a dû remplacer six excellents titulaires et a dû recourir à des transferts pour combler d'importantes lacunes dans la défense secondaire. Sur huit transferts défensifs, seuls deux ont fonctionné, et le bilan de Gibson n'a pas empêché State de chuter à la 69e place en SP+ défensif. Le Wolfpack de Doeren était classé dans le sondage de pré-saison 2024, mais malgré une légère surperformance offensive – ils étaient projetés 56e en SP+ offensif et ont fini 48e – ils ont enregistré leur premier bilan négatif en cinq ans.

Il est temps pour une autre cycle de changement en 2025. Gibson a pris le poste d'entraîneur-chef Marshall, et sur les 16 défenseurs avec plus de 200 snaps la saison dernière, seulement six reviennent. Le secondeur Sean Brown (13 arrêts de course) et aborde Brandon Cleveland et Travali Price (combinés: 15 arrêts de course) sont de bons points de départ pour le nouveau coordinateur DJ Eliot, mais après avoir échoué à atterrir suffisamment de transferts d'impact l'année dernière, Doeren a dû en rechercher encore plus. Cian Slone (État de l'Utah) et Sabastian Harsh (Wyoming) figuraient parmi les meilleures extrémités défensives de Mountain West l'année dernière, et Brian Nelson II (North Texas) et Jamel Johnson (Temple) étaient parmi les coins les plus actifs de l'AAC. Mais c'est beaucoup de changements en peu de temps, et la dernière fois qu'Eliot a coordonné une défense du top 50, c'était 2015.

Il y a du raison pour l'optimisme en attaque, au moins. Le quart-arrière CJ Bailey était décent en tant que véritable recrue: il s'est classé 65e à QBR, juste entre deux méga-blues - Dylan Raiola du Nebraska était le 59e, le DJ Lagway 70e en Floride - et ses meilleurs moments étaient super. Il avait 18 pour 20 pour 234 verges et trois scores dans une éruption de Stanford, il s'est précipité pour 83 verges et trois touchés dans un quasi-actions de Georgia Tech, et il a lancé 242 verges et a couru pour 54 dans une victoire de rivalité à l'UNC. Sa performance était suffisamment encourageante pour que Doeren ait licencié le coordinateur Robert Anae, il a promu l'entraîneur des QB Kurt Roper.

Bailey n'est pas le seul deuxième étudiant excitant de Roper. Le porteur de ballon Hollywood Smothers (571 verges, 6,4 par course) et Noah Rogers (478 verges, 13,7 par rattrapage) étaient tous deux des coups sûrs, et le tacle entrant Teague Andersen (État de l'Utah) était une mention honorable All-MWC en première année. Si le développement et un nouveau jeu de jeu entraînent moins de jeux négatifs - le pack était le 119e en chiffre d'affaires, 116e en taux de trucs et 74e au rythme de sac - cela pourrait être la meilleure attaque de l'État depuis 2021. Cela pourrait suffire à conduire une saison solide si la défense ne s'effondre pas plus loin.

Yellow Jackets de Georgia Tech

Entraîneur-chef: Brent Key (quatrième année, 18-16 au total)

2025 Projection: 44e en SP +, 6,6 victoires moyennes (4,0 dans l'ACC)

Si vous regardiez Georgia Tech en 2024, les Yellow Jackets faisaient probablement quelque chose de spécial. Ils ont joué trois meilleures équipes et ressemblaient à une équipe du Top-10 contre les trois - ils ont bouleversé le N ° 10 de Florida State en Irlande pour commencer la saison (à l'époque où nous avons pensé que c'était un bouleversement), puis a frappé le n ° 4 Miami des rangs invaincus avec une victoire de 28-23 en novembre et tout sauf a battu la Georgia n ° 6 pendant la rivalité, en tombant finalement 44-42 après 114. (OK, c'était huit OTS.) Ils sont autrement allés 5-5, perdant à Syracuse et Louisville, s'effondrent brièvement lorsque le quart-arrière Haynes King s'est blessé à l'épaule et a perdu un bol amusant de Birmingham contre Vanderbilt.

Dans l'ensemble, ils n'étaient vraiment pas différents de ceux qu'ils étaient lors de la première saison de Brent Key à la barre.

Georgia Tech en 2023: 7-6, 65e en SP + (50e infraction, 86e défense, 68e équipes spéciales)

Georgia Tech en 2024: 7-6, 66e en SP + (42e infraction, 79e défense, 104e équipes spéciales)

Pourtant, faire des souvenirs peut être payant. Key a profité de ces grands moments en signant un cours de recrutement parmi les 20 premiers et en s'accrochant à des joueurs clés comme King, en porteur de ballon Jamal Haynes , au gardien de toutes les conférences Keylan Rutledge et à l'attaquant défensif Jordan van den Berg . He also added all-Ivy League running back Malachi Hosley (Penn), maybe Florida International's two best players -- receivers Eric Rivers and Dean Patterson , who combined for 1,857 yards and 19 TDs -- and a number of exciting defenders, such as end Ronald Triplette (UTSA), tackles Matthew Alexander (UCF) and Akelo Stone (Ole Miss), cornerbacks Kelvin Hill (UAB) et Daiquan White (Eastern Michigan) et les sécurités Jyron Gilmore (Georgia State) et Cayman Spaulding (Tennessee Tech).

Les transferts défensifs étaient nécessaires, car seulement sept des 19 défenseurs avec plus de 200 snaps reviennent pour le nouveau coordinateur Blake Gideon. Tech n'a pas eu de défense parmi les 50 premiers, par SP +, depuis 2017, et depuis que les Yellow Jackets ont accordé au moins 31 points en cinq des six défaites, il est clair que la défense les a également retenues en 2024.

Les blessures l'ont fait aussi. Dix-neuf défenseurs ont commencé au moins un match, et King a non seulement raté deux matchs, mais il était limité dans d'autres. Son style ridiculement physique fera toujours de lui un risque de blessure, mais quand lui et Haynes seront dans le champ arrière, Tech aura une chance de battre n'importe quelle équipe qu'il joue. Il n'y aura pas autant d'opportunités de victoire en marquee - les Jackets ne jouent que deux équipes projetées dans le top 40 (Clemson et Géorgie) - mais si cela entraîne plus de victoires, point , je doute que Key se plaindra trop.

Caroline du Nord Tar Heels

Entraîneur-chef: Bill Belichick (première année)

2025 Projection: 54e en SP +, 6,6 victoires moyennes (4,0 dans l'ACC)

Nous avons eu des mois pour nous habituer à l'idée que Bill Belichick gère un programme de football universitaire. Cela va toujours se sentir ridiculement étrange de voir l'entraîneur-chef de 73 ans, âgé de six fois au Super Bowl, mener la Caroline du Nord sur le terrain contre TCU le premier lundi soir de la saison. J'ai eu cette vision de Belichick décidant de terminer sa carrière en menant une équipe de division III comme son alma mater, Wesleyan. Je ne peux pas dire que j'ai jamais eu une vision de lui entraîneur dans l'ACC.

Je ne sais toujours pas comment ça va se passer. Comme je l'ai écrit au printemps : "Selon la gentillesse que vous êtes, Belichick s'est entouré d'entités connues ou de Yes-Men: deux Belichicks (coordinateur défensif Steve, l'entraîneur DBS Brian), deux Lombardis (directeur général Michael, entraîneur des quart-arrière) et autres anciennes assistants de la NFL (coordinatrice offensive). PADS ET CRIGNER À LES PLUS SUR LES PROBLÈMES, et il est considéré comme un enseignant assez bon qui, pour tout ce que nous savons, cette liste non annoncée pourrait bien se développer et prospérer.

J'aime la liste plus maintenant que lorsque j'ai écrit cela, grâce à l'ajout de printemps du quart-arrière de South Alabama Gio Lopez (2 559 verges de dépassement, 547 verges pré-sacs, 25 TD au total), et Belichick & Co. - qui moyen de 6 pieds 6 pouces, 322 livres. Mais le Corps des compétences est terriblement non prouvé: le chef de file du retour en arrière Davion Gause avait 326 verges au sol, et le premier receveur de retour Kobe Paysour avait 365 verges de réception.

La défense, quant à elle, recommence presque complètement. Seize défenseurs ont vu au moins 200 snaps l'année dernière, et seulement trois reviennent, tous les dos défensifs. Les secondeurs Andrew Simpson (Boise State), Mikai Gbayor (Nebraska) et Khmori House (Washington) pourraient tous être des gardiens, bien que finisse Pryce Yates (6,5 TFL à UConn) et Melkart Abou-Jaoude (9,5 TFLS à Delaware) sont presque par défaut les plus prouvants. Sous Mack Brown, la défense a généralement entraîné l'offensive - les talons ont accordé au moins 34 points en cinq des sept défaites la saison dernière - et bien que le mot "Belichick" soit synonyme de bonne défense, il pourrait prendre un peu de temps pour développer le son de ce côté du ballon.

Virginia Tech Hokies

Entraîneur-chef: Brent Pry (quatrième année, 16-21 au total)

2025 Projection: 46e en SP +, 6,6 victoires moyennes (3,9 dans l'ACC)

En 2023, Virginia Tech est tombée aussi bas que 80e en SP + avant que l'offensive ne fasse feu et ne conduit une finition 5-2. En 2024, les Hokies ont recommencé lentement, mais ont presque battu Miami et ont remporté trois matchs consécutifs de l'ACC par 60 points combinés avant que les blessures au quart-arrière Kyron et le porteur de ballon Bhayshul tuten ne ralentissent l'offensive. L'équipe de Brent Pry a passé environ la moitié des deux dernières saisons à clignoter le top-20, mais est allée combinée 13-13. Et après un chiffre d'affaires massif, la quatrième liste de technologie de Pry sera presque complètement différente de son troisième.

Les drones sont de retour. Il a lancé pour 3 646 verges et s'est précipité pour 1 377 en 23 matchs en tant que Hokie, et il est un excellent point de départ, mais l'ailier serré Benji Gosnell est le seul autre partant offensif. En défense, les secondeurs Caleb Woodson et Jaden Keller sont les seuls rapatriés à avoir commencé plus de six matchs. J'aime vraiment beaucoup de transferts que la technologie a apportés, mais ils ont dû en apporter si sacrément beaucoup .

En attaque, les coureurs Terion Stewart (Bowling Green), Braydon Bennett (Coastal Carolina) et Marcellous Hawkins (Central Missouri) ont combiné pour 2 762 verges et 35 TD en 2024, et Stewart est l'un des meilleurs verges de contacts dans le pays. Le récepteur Donavon Greene (Wake Forest) est de la dynamite lorsqu'il est en bonne santé (ce qui n'est pas souvent), l'ancien recrue du Top-125 Cameron Seldon (Tennessee) pourrait être un joli voleur de métrage dans la fente, et le garde Tomas Rimac (Virginie-Occidentale) est l'un des quatre transferts de l'Ol Matt Moore avec lui de WVU.

En défense, fin Ben Bell (Texas State) a été l'un des meilleurs rushers du pays en 2023 avant de manquer la majeure partie de 2024, et cinq autres nouveaux D-Linemen ont fait au moins cinq TFL l'an dernier. Dans le dos, les sécurités Christian Ellis (Nouveau-Mexique), Isaiah Cash (Sam Houston) et Tyson Flowers (Rice) ont combiné pour 5 interceptions, 15 ruptures et 14 arrêts, tandis que Corners Isaiah Brown-Murray (East Carolina), Caleb Brown (Hawai'i) et Joseph Reddish (Wingate) combinés pour cinq INTS et 24 ruptures.

En plus de tout cela, Pry a dû embaucher une nouvelle paire de coordinateurs, choisir une quantité connue en attaque (l'ancien entraîneur-chef de Tulsa Philip Montgomery) et un plus jeune entraîneur intrigant sur la défense (ancien entraîneur de l'Arizona Cardinals LBS Savkes). Avec la proximité de Pry au succès, il n'est pas optimal de faire face à autant de changements à la fois, mais cette liste pourrait avoir plus à la hausse que n'importe quel Pry a conduit à Blacksburg.

Pittsburgh Panthers

Entraîneur-chef: Pat Narduzzi (11e année, 72-56 au total)

2025 Projection: 47e en SP +, 6,1 victoires moyennes (3,6 dans l'ACC)

L'une des choses qui rend une saison de football universitaire si agréable est la course avancée précoce, lorsqu'une équipe bénéficie de finitions précoces passionnantes, prend un démarrage rapide et vous oblige à le considérer comme un candidat potentiel. Il ajoute une telle couche de richesse et de construction du monde au sport.

La saison 2024 de Pitt en est un parfait exemple. Après un effondrement terrible de 3-9 en 2023, Pat Narduzzi a embauché le coordinateur offensif de 30 ans Kade Bell (Western Carolina), l'a jumelé avec l'ancien dos de la WCU Desmond Reid et l'ancien quart-arrière de la sauvegarde de l'Alabama Eli Holstein , et a regardé l'offensive conduire un début étourdissant 7-0. Les Panthers ont marqué des victoires tardives contre Cincinnati et Virginie-Occidentale, ont survécu à un autre titre de septembre (CAL) et ont fait exploser un autre parvenu, Syracuse, grâce à trois choix de choix de première mi-temps.

Et puis ils ont disparu de la vue. Holstein a lutté, puis s'est blessé. Une défense agressive mais glitchique a fait plus de fuites. Et aussi délicieux qu'ils ont regardé pendant le début invaincu, ils semblaient également perdus lors d'une finition 0-6. Ils ont plus que doublé leur total de victoires de la manière la plus décevante possible.

Quelle a été l'impression la plus précise, le début ou la finition? Holstein est de retour, et Bell a également l'ancien quart-arrière de la WCU , Cole Gonzales , juste au cas où. Reid est de retour après avoir combiné 966 verges au sol avec 579 verges de réception, et l'offensive renvoie également deux de ses trois meilleurs joueurs de ligne offensive. La défense renvoie quatre des six joueurs avec au moins huit TFL, dont les secondeurs Kyle Louis (17 TFL) et Rasheem Biles (11,5), plus trois DB physiques en matière de sécurité Javon McIntyre et Corners Rashad Battle et Tamon Lynum . Le transfert entrant Kavir Bains-Marquez (UC Davis) a été l'un des défenseurs les plus perturbateurs du Big Sky l'année dernière.

Un jeu Pitt l'année dernière était presque garanti pour comporter beaucoup de jeux négatifs, beaucoup de jeux explosifs et beaucoup de pénalités. C'était une balle très volatile, même selon les normes de Narduzzi, et cela a payé pour les Panthers jusqu'à ce qu'il ne le fasse pas beaucoup. Mis à part Reid, la plupart des joueurs les plus excitants de l'année dernière étaient des étudiants de première année et des étudiants de deuxième année, et on peut voir comment l'expérience pourrait poncer les bords rugueux et faire de Pitt un cheval noir ACC. Mais cet effondrement de fin de saison était assez moche. C'est aux Panthers de prouver si la première ou la deuxième moitié de la saison nous a montré la voie à suivre.

California Golden Bears

Entraîneur-chef: Justin Wilcox (neuvième année, 42-50 au total)

2025 Projection: 65e en SP +, 5,9 victoires moyennes (3,4 dans l'ACC)

D'une manière ou d'une autre, Cal a peut-être eu une saison médiocre encore plus mémorable que Pitt. En raison d'un départ 3-0 et du calgorithme vanté , les Golden Bears ont accueilli "College Gameday" pour la première fois lorsque Miami est venu en ville. Ils ont mené par pas moins de 25 points mais sont tombés, 39-38. C'était essentiellement l'histoire de leur saison: ils ont terminé 55e en SP + - leur meilleur classement de toute l'ère Justin Wilcox - mais sont allés 6-7 en raison d'un dossier de 2-5 en finitions à un score. Pour aggraver la frustration, ils ont perdu 33 joueurs au portail. (Wilcox a également changé les deux coordinateurs.)

Wilcox a honnêtement fait un très bon travail pour trouver à la hausse pour remplacer à la hausse dans le portail. Au quart-arrière, il a trouvé le junior Devin Brown (Ohio State) et l'étudiant de première année de premier ordre Jaron-Kkeawe Sagapolutele, qui avait initialement signé avec l'Oregon. Lors du porteur de ballon, il a attrapé Brandon High (UTSA), Kendrick Raphael (NC State) et l'ancien Blue Chipper LJ Johnson Jr. (SMU). Cinq nouveaux WR et deux TES sont arrivés, dont un récepteur de créneaux de haut niveau dans Jacob de Jesus de l'UNLV et deux des récepteurs les plus explosifs du FCS, de l'Idaho Mark Hamper et du Quaron Adams du Dakota du Sud (combiné: 1 504 yards, 22,4 par capture). Et il a cinq nouveaux monteurs de lignes offensifs à associer à deux partants de 2024 et au démarreur 2023 Sioape Vatikani , qui a raté beaucoup de la saison dernière.

En défense, pas mal des six retours de l'année dernière, dont quatre des cinq principaux joueurs de ligne, mais Wilcox a quand même ajouté quatre secondeurs de plus et trois joueurs de ligne, dont TJ Bush Jr de Liberty. (neuf tfls) et l'ancien blue-chipper Tyson Ford (Notre Dame). Le secondaire, cependant, a perdu sept des huit premiers de l'année dernière. En sept transferts DB, y compris les masses d'Ézéchias (FIU) et Brent Austin (USF).

La défense s'est mieux classée la saison dernière et retourne plus d'expérience, mais même si je ne sais pas à quoi m'attendre du nouveau coordinateur offensif Bryan Harsin, j'aime vraiment l'avantage des transferts là-bas. Le calendrier est gentil, avec seulement deux adversaires projetés mieux que la 40e, et si l'un des deux QB athlétique joue à un niveau solide et que le dieu des matchs proches sourit sur les Golden Bears - deux puissants IF qui pourraient ne pas se concrétiser - Cal pourrait dépasser le total de la victoire de l'année dernière.

Je cherche juste un chemin vers 6-6 Eagles du Boston College

Entraîneur-chef: Bill O'Brien (deuxième année, 7-6 au total)

2025 Projection: 62e en SP +, 5,2 victoires moyennes (2,9 dans l'ACC)

La première saison de Bill O'Brien en tant qu'entraîneur-chef de la Colombie-Britannique a été un jeu complet en trois actes. Au début, les Eagles étaient encore un autre parvenu intrigant, tenant Florida State à 13 points (encore une fois, quand nous avons pensé que c'était impressionnant) et putain de renverser une éventuelle équipe du Missouri à 10 victoires. La défense a été physique et frustrante, et le quart-arrière Thomas Castellanos a pu courir et éviter les défenseurs pendant apparemment des minutes, même s'il n'allait pas vraiment nulle part. Même lorsque Castellanos a commencé à susciter des blessures et à perdre son efficacité, la défense était assez bonne pour assurer un départ 4-1.

Cependant, une séquence de trois matchs perdante a suivi, et avec O'Brien perdant confiance en Castellanos, il a appelé Grayson James hors du banc contre Syracuse. James a lancé une passe de TD tardive pour assurer une victoire bouleversée, et O'Brien a choisi de démarrer James à partir de là; Castellanos a quitté l'équipe et la Colombie-Britannique a remporté deux matchs de plus pour terminer 7-6.

James a subi moins de jeux négatifs que Castellanos et a pu tous les deux obtenir le ballon rapidement à l'homme Lewis Bond et à se connecter sur des tirs profonds à Reed Harris , d'alors. Dans un échantillon raisonnablement petit, il s'est retrouvé avec l'une des meilleures notes QBR totales de la conférence, juste entre le choix du repêchage de la NFL au deuxième tour, Tyler Shough et Kevin Jennings.

Le combo James-Bond-Harris était intrigant, tout comme le jeune RBS Turbo Richard et Datrell Jones dans de petits échantillons. Une bonne ligne a perdu quelques partants de toutes les conférences; S'il n'y a pas trop de département là-bas, il devrait y en avoir assez pour maintenir l'élan tardif de la saison dernière, surtout si les Eagles retirent quelque chose des transferts tels que le récepteur VJ Wilkins (Campbell) et le bout serré Ty Lockwood (Alabama). Bama Transfer Dylan Lonergan a également rejoint la course QB.

Avec un secondaire chargé de étudiants de première année et de deuxième année, le coordinateur Tim Lewis a dû jouer des choses assez douces dans la défense des passes. Mais la défense de course était saine, et la Colombie-Britannique a toutes deux créé de longs troisièmes pour les adversaires et a fait un nombre solide d'arrêts. Le secondaire est beaucoup plus assaisonné maintenant, et le secondeur Daveon Crouch est excellent. Mais avec les quatre meilleurs joueurs de ligne de l'année dernière, O'Brien a chargé sept transferts à l'avance, cinq dans les petites écoles. Aucun n'avait de lignes de statistiques incroyables l'année dernière, mais si un couple peut fournir de la profondeur pour les vétérans comme finir QuinTayvious Hutchins , un classement défensif défensif du Top 5 est possible.

Orange de Syracuse

Entraîneur-chef: Fran Brown (deuxième année, 10-3 au total)

2025 Projection: 56e en SP +, 4,8 victoires moyennes (2,9 dans l'ACC)

Ces chiffres de hatin y sont de nouveau. Syracuse a remporté 10 matchs la saison dernière et est maintenant dans la section "Espérer juste pour 6-6". Quoi?

J'essaierai d'expliquer: en 2024, l'Orange n'a joué que trois équipes Top-40 SP + et les a toutes battues, mais ils sont allés 7-2 en finitions à un score (difficile à dupliquer), et deux de leurs trois défaites - par 28 contre Pitt et à domicile pour Stanford - étaient absolument terribles. Kyle McCord a piloté une attaque efficace et heureuse, mais les adversaires ont fait plus de grands jeux, et ils ont été parmi les équipes les plus chanceuses de la ligue. Malgré les 10 victoires, ils ont terminé 46e en SP +.

Bien sûr, la 46e était le meilleur classement de Syracuse en sept ans! Et les premières dalliances de Fran Brown dans le portail ont produit le principal passeur d'Orange, le récepteur de tête, deux partants de ligne offensive et quatre de leurs meilleurs défenseurs. C'est un bon signe.

Les choses deviendront plus difficiles en 2025. Le calendrier comprend cinq équipes top-20 prévues, et l'offensive ne renvoie que deux partants. McCord sera probablement remplacé par Steve Angeli (Notre Dame) ou Rickie Collins (LSU), et avec le principal rusher de l'année dernière et trois principaux objectifs disparus, le transfert de récepteur entrant Johntay Cook II (Texas) et de nombreuses anciennes sauvegardes devront intensifier. À l'avant, deux partants reviennent, mais ils sont deux des trois gars seulement avec plus de 40 snaps en arrière, et Brown a apporté des transferts de cinq lignes.

Les blessures ont poussé beaucoup de gars dans la défense de départ à un moment ou à un autre, et des 23 joueurs qui ont commencé au moins une fois (!), 15 reviennent. Il n'y a pas une tonne de jeu éprouvé ici, mais la sécurité Duce Chestnut et le nickel Devin Grant sont fantastiques, et la production par SNAP de Sophomore Olb David Omopariola suggère qu'il a un potentiel d'évasion. Brown n'a pas chargé les transferts, mais il a ajouté des meneurs de jeu solides dans le plaqueur Chris Thomas (Marshall) et le rusher Edge David Reese (Cal) et une jeune sécurité de premier ordre à Chris Peal (Géorgie).

Entre la mise à niveau massive de la force du calendrier, le total de victoires gonflé de l'année dernière et la nécessité d'un autre lot de meneurs de jeu de Portal en attaque, les chances sont certainement favorables à une saison de revers pour l'Orange. Mais Brown a à peine fait un faux pas jusqu'à présent, que les chiffres de haine le reconnaissent ou non.

Virginie Cavaliers

Entraîneur-chef: Tony Elliott (quatrième année, 11-23 au total)

2025 Projection: 79e en SP +, 5,1 victoires moyennes (2,8 dans l'ACC)

D'une part, Virginia s'est améliorée à 5-7 l'an dernier après les saisons consécutives de trois victoires sous Tony Elliott. La défense était solide contre la course et en troisième essais, et l'offensive a montré des indices d'une identité, avec un tempo rapide et un jeu de course décent.

D'un autre côté, UVA a joué six premières équipes et est allée 0-6 avec une perte moyenne de 36-17. SP + a vu à peine aucune amélioration - après avoir en moyenne un classement de 95,0 SP + dans les deux premières saisons d'Elliott, ils étaient 91e en 2024. Ils ont été horribles à la fois à la fois (113e en verges par baisse) et à empêcher les adversaires de le faire (118e).

Après être allé .500 ou mieux dans chacune des quatre dernières saisons de Bronco Mendenhall (classement SP + moyen: 45,8), l'UVA vient d'être terrible sous Elliott. Et comme étant le milieu des années 2020, Elliott tentera de sauver son emploi via le portail. Il accueille 31 transferts à Charlottesville, et une grande majorité d'entre eux sont des classes supérieures. Le quart-arrière Chandler Morris (nord du Texas) peut placer le ballon, et j'aime vraiment le duo de porteur de ballon de Harrison Waylee (Wyoming) et J'Mari Taylor (NC Central). Je ne sais pas à qui Morris lancera - Purdue Transfer Jahmal Edrine et Retournee Trell Harris sont probablement les plus grandes menaces de gros jeu - mais grâce à sept transferts, presque toute la profondeur O-Line Two pourrait être composée de seniors.

J'aime les meneurs de jeu D-Line Elliott a apporté: Ends Fisher Camac (UNLV), Cazeem Moore ( Elon ) et Daniel Rickert (Tennessee Tech) combinés pour 38,5 TFLS et 20,5 sacs la saison dernière (Bama) sont actifs pour leur taille . Le Corps de secondeur est probablement la meilleure unité de l'équipe grâce aux rapatriés Kam Robinson , Trey McDonald et James Jackson , mais avec la plupart du secondaire de départ disparu, UVA accueillera huit DB de transfert.

Cela fonctionnera-t-il? Je serais surpris. Et même si c'est le cas, Elliott devra signer environ 30 à 40 transferts l'année prochaine juste pour tenir compte de la perte de tant de personnes âgées. Mais le calendrier est léger, avec seulement deux équipes des 40 meilleures projetées (et aucune dans le top 20), et UVA est probablement mieux chez QB et sur les deux lignes que l'année dernière. L'admissibilité au bol est une possibilité, du moins.

Diacres démoniaques de Wake Forest

Entraîneur-chef: Jake Dickert (première année)

2025 Projection: 81e en SP +, 5,2 victoires moyennes (2,3 dans l'ACC)

Dave Clawson a fini par une relique d'une époque passée. Il a remporté 157 matchs combinés à Fordham, Richmond, Bowling Green et Wake Forest en raison de la construction de programmes pragmatiques et du développement des joueurs. Il a pris son temps - son pourcentage de victoire au cours de sa première année dans ces emplois n'était que .277, suivi de 0,354 en deux ans, 0,532 en troisième année et .698 en quatrième année.

Vous ne prenez plus votre temps. Il faut dire que les meilleurs entraîneurs s'adaptent, et beaucoup l'ont fait car les exigences de NIL et du portail ont si radicalement changé le fonctionnement de la construction de la liste. Mais qu'il s'agisse de l'échec de Clawson à s'adapter ou à l'échec de Wake Forest à générer des fonds nul appropriés - je ne fais pas de suppositions dans les deux cas - les choses se sont effondrées assez rapidement pour les diacres des démons. Au cours des deux dernières saisons de Clawson, ils sont allés 4-8 avec des classements de moins de 90 SP +. Les bons joueurs sont partis trop rapidement, et il n'y avait tout simplement pas assez de talent pour travailler.

S'il y a quelqu'un qui sait gagner lorsque vos meilleurs joueurs regardent constamment par la porte, c'est Jake Dickert. Il est allé 20-18 en trois ans dans l'État de Washington malgré un chiffre d'affaires constant. Et sa première équipe de réveil sera construite par le portail. Il hérite d'un solide briseur de tacle dans le porteur de ballon Demond Claiborne , un secondeur sûr à Dylan Hazen et peu d'autre. Il a apporté quelques transferts de Wazzu avec lui, dont trois joueurs de ligne offensive de départ et un solide récepteur à Carlos Hernandez . Ces joueurs de ligne protégeront l'un des deux quarts très excitants (lire: Scramble-Have et Sack-suz) en étudiant en deuxième année Deshawn Purdie (Charlotte) ou en senior Robby Ashford (Caroline du Sud). Ils couriront beaucoup et vont potentiellement lancer à Hernandez et deux récepteurs de plus de 1 000 verges à Reginald Vick Jr. (Virginia Union) et Karate Brenson (Tennessee State).

Oui, son nom est le karaté Brenson.

L'ancien Kansas State et le coordinateur de l'État du Michigan, Scottie Hazelton, reprend une défense qui - surprise! - se composera principalement de transferts. Les extrémités Gabe Kirschke (Colorado State) et Langston Hardy (UConn) ont été gentils, et les sécurités Ashaad Williams (North Alabama) et Sascha Garcia (William & Mary) étaient tous deux de plus petits écoles. Dirigée par Hazen, cela pourrait devenir une défense solide à tackling et à faire à them-you-vous assez rapidement. Mais il est toujours juste de remettre en question le niveau global des talents des deux côtés du ballon.

Cardinal de Stanford

Entraîneur-chef: Frank Reich (première année)

2025 Projection: 88e en SP +, 3,4 victoires moyennes (2,2 dans l'ACC)

En ce qui concerne les entraîneurs intérimaires, vous pourriez faire pire que Frank Reich. L'ancien entraîneur-chef d'Indianapolis Colts et Carolina Panthers - et ingénieur de deux des plus grands retours de tous les temps - a le curriculum vitae, même s'il ne faisait que 4-15-1 au cours de ses deux dernières années dans ces emplois. Andrew Luck, le GM de Stanford supervisant le programme, a appelé en faveur de faire venir Reich après le licenciement maladroitement chronométré de Troy Taylor , et quoi qu'il arrive, Reich ne fera probablement pas de pire que Taylor. Il est allé 3-9 au cours de chacune de ses deux années de travail, tout comme le prédécesseur David Shaw est allé 3-9 au cours de chacune de ses deux dernières années. Le classement SP + de Stanford s'est aggravé au cours de sept des neuf dernières années, et la dernière fois que la victoire totale s'est améliorée au cours d'une saison donnée, c'était 2015. Yikes . Après la poussée soudaine du programme sous Jim Harbaugh et Shaw, cela a été une catastrophe au ralenti pendant la majeure partie d'une décennie.

Alors oui, il y a une barre basse pour Reich. À QB, lui et le coordinateur offensif Nate Byham essaieront de créer quelque chose d'utile à partir de Ben Gulbranson (Oregon State), de deuxième année Dylan Rizk (UCF) ou de première année Redshirt Elijah Brown ; Les seuls joueurs particulièrement éprouvés du Skill Corps sont les transferts de plus petite école dans le thon de ballon Altahir (Eastern Washington) et les récepteurs Caden High (SC State) et David Pantelis (Yale). La ligne offensive, longue chargée d'anciens blue-gisples, n'en reste pas vraiment. Mais trois partants reviennent, ainsi que les transferts Niki Prongos (UCLA) et Nathan Mejia (État de Sacramento). Y a-t-il une infraction réussie dans ce mélange? Je ne le vois pas.

La défense est horrible pour trois années consécutives, mais elle a de l'expérience et de la continuité - de 20 joueurs avec au moins 150 snaps, 15 retour. Le secondeur extérieur Tevarua Tafiti , Nickel Collin Wright et la sécurité Mitch Leigber sont tous solides, mais l'espoir doit être que l'expérience et le développement créent quelque chose d'utile.

Les choses ne se retournent généralement pas pour un intérêt, mais à tout le moins, les choses ne s'aggraveront probablement pas. Est-ce que cela compte comme un spin positif?

espn

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